Deux femmes en conversation dans un environnement de bureau lumineux. L'une, vêtue d'un pantalon orange et d'un haut noir, exprime quelque chose avec des gestes de la main, tandis que l'autre, vue de dos en débardeur noir, l'écoute attentivement.

De la naissance

aux soins de fin de vie.

Un professionnel de la santé souriant, portant un stéthoscope autour du cou et tenant des documents, discute avec une personne vêtue d'un haut rouge vif. La scène se déroule dans un environnement lumineux avec de grandes fenêtres, créant une atmosphère accueillante et professionnelle.

Portraits de médecins
de famille

Une professionnelle de la santé portant une tenue médicale bleue s'entretient avec une patiente allongée dans un fauteuil. La professionnelle semble expliquer quelque chose en gesticulant légèrement, tandis que la patiente écoute attentivement. L'environnement est lumineux et propre, typique d'un cabinet médical.
« J’ai su assez tôt que je voulais me diriger en médecine de famille parce que j’aimais un peu de tout — autant la santé mentale et les techniques que la santé de la femme.

J’adore travailler en équipe et monter un plan de traitement pour les patients afin qu’ils se sentent bien épaulés dans leur cheminement.

Il s’agit d’une carrière qui peut évoluer selon les besoins et les intérêts de chacun et chacune, tout en offrant une belle qualité de vie.

La médecine de famille est, selon moi, la spécialité la plus complète. »
Dre Katherine Larose, médecin de famille
CLSC de Saint-Calixte
Un professionnel de la santé souriant, vêtu d'une chemise bleue à motifs, prend la tension artérielle d'un patient à l'aide d'un brassard. La scène se déroule dans un environnement chaleureux et accueillant, avec une interaction bienveillante entre le soignant et le patient.
« Quand j’ai choisi l’urgence, ce qui me passionnait le plus, c’était le défi. Maintenant que j’ai connu l’urgence, je me penche vers les soins palliatifs. C’est complètement différent, on n’est pas dans le débit. On est plutôt dans l’accompagnement et ça me parle tout autant.

J’ai la chance de pouvoir changer complètement de milieu : aucune autre carrière en médecine ne me permettrait de faire ça. »
Dr Frédéric Picotte, médecin de famille
GMF-U de Shawinigan
Professeur adjoint de médecine à l’Université de Montréal
Une professionnelle de la santé portant un stéthoscope autour du cou, vêtue d'un haut noir et d'un pantalon rouge, écoute attentivement une personne en face d'elle. L'arrière-plan montre un tableau d'affichage avec des documents, créant une ambiance de bureau médical ou de consultation professionnelle.
« J’ai longtemps travaillé en cliniques de VIH et, aujourd’hui, je consacre mes lundis au traitement des personnes ayant une dépendance aux opioïdes. Le reste du temps, ma pratique demeure très variée. Une des spécificités du travail auprès des personnes en situation de précarité, c’est qu’elles perçoivent immédiatement le manque d’authenticité. Elles m’ont vraiment aidé à me reconnecter à mon rôle de médecin.

La médecine de famille offre la possibilité d’allier le volet scientifique à la dimension relationnelle, avec la complexité et la beauté des humains. Je n’ai trouvé cela nulle part ailleurs. »
Dre Marie-Ève Goyer, médecin de famille en dépendance et en itinérance
CIUSSS Centre-Sud-de-l'Île-de-Montréal
Un professionnel de la santé souriant, portant un stéthoscope autour du cou et un haut blanc, tient des documents tout en discutant avec une femme vêtue d'un haut rouge. La scène se déroule dans un environnement lumineux avec de grandes fenêtres, créant une atmosphère professionnelle et accueillante.
« L’un des grands avantages d’être médecin de famille, c’est qu’il y a très peu de situations où on ne peut pas aider la personne. Je vois des patients de 0 à 104 ans, et il n'y a pas vraiment de journée typique.

Si vous étudiez en médecine et que vous avez de la difficulté à choisir parce que vous aimez tout, votre place est probablement en médecine de famille. Et si vous avez envie de modifier votre pratique au fil du temps, votre place est également en médecine de famille. »
Dr Sébastien Burelle, médecin de famille
GMF de l’Énergie, Shawinigan
Une professionnelle de la santé portant un pull vert foncé utilise un stéthoscope pour ausculter une patiente. Elle affiche un sourire chaleureux, créant une atmosphère rassurante. La scène se déroule dans un environnement médical ou de consultation, avec un échange bienveillant entre la soignante et la patiente.
« Je fais du bureau, des suivis de patients, du sans rendez-vous, et parfois je supervise un résident. Je fais aussi de la chirurgie mineure.

Ici, on touche à tout. Ce qui me passionne au quotidien dans ma pratique de médecin de famille, c’est vraiment le suivi de bureau. Quand je vois mes patients, je me demande : comment prévenir l’apparition de maladies chroniques? Et pour ceux qui en ont déjà, comment éviter des visites à l’urgence ou des hospitalisations? C’est vraiment ce rôle-là qui me tient à cœur : m’assurer qu’il n’y ait pas de complications dans leur maladie. »
Dre Carolanne Forgues, médecin de famille
Clinique médicale Sainte-Croix
Un professionnel de la santé examine la jambe d'un patient âgé assis sur une table d'examen dans un cabinet médical lumineux. L'interaction semble attentive et bienveillante, avec des diplômes encadrés accrochés au mur, soulignant le contexte médical et professionnel.
«J’ai grandi entouré de personnes âgées et j’ai pris soin de mes grands-parents quand j’étais plus jeune. J’ai eu la chance d’apprendre à bien parler le mandarin et le cantonais, ce qui me permet aujourd’hui de faire mes consultations dans ces
langues.

Les personnes âgées d’origine chinoise n’expriment pas toujours leurs préoccupations et leurs problèmes de santé de manière classique. Il faut chercher les subtilités de leur histoire, comprendre leur vécu et les aider à naviguer dans le système de santé québécois. Je termine mes journées avec le sentiment d’avoir changé quelque chose dans leur parcours.»
Dr Kaho Tong, médecin de famille
Centre Médical Mira, Brossard
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Quel type de médecin
de famille es-tu?

Qu’est-ce qui te motive au quotidien?
  • A
    Décrypter un cas rare dans le cadre de mes études. Il n’y a rien comme un moment « Eurêka! » après des heures de recherches.
  • B
    Dans le cadre d’un stage, constater l’effet rassurant d’un diagnostic expliqué calmement à un patient stressé.
  • C
    Mener une équipe vers un but commun, en misant sur les forces de chacun.
  • D
    Jongler entre un examen bien préparé, une séance d’entraînement pour me défouler et une soirée quiz entre amis. J’aime mon agenda chargé!
Si tu as majoritairement choisi :
D
  • title of the answer
Tu es une personne extrêmement persévérante et toujours prête à relever des défis de plus en plus complexes. Ta capacité d’analyse te permettra d’aborder des situations complexes avec assurance et de repousser les limites de tes connaissances pour mieux accompagner tes patients.
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